Dr Irène de Villiers: c’est sa colère..et je la partag:
Prévention de la PIF
August 31, 2015Uncategorizedprévention de la PIF
Donc traduis (écrits de 2003):
Prédisposition à la PIF: comment la prévenir
“il y a un mois, un de mes clients a perdu un chaton de 6 mois, de PIF. Pourquoi ce chaton a déclaré une PIF, et pourquoi cela devient de plus en plus fréquent aux USA, était tellement flagrant, que ma frustration a été vraiment majeure ce jour-là et j’ai envoyé le mail suivant à ma liste de Catwell mail (à propos vous êtes bienvenus pour en être membre si vous le souhaitez, c’est gratuit bien sûr, et il y a là souvent des informations et avis valables). Quoi qu’il en soit, ce peut être une réponse partielle à la question pourquoi tel chat déclare une PIF, an cas où on se la pose.
Aussi vite que la profession vétérinaire utilise les vaccins et les drogues, et avance l’âge de la stérilisation chirurgicale, aussi vite augmente le nombre des cas de PIF. C’est le même cas pour ce chaton avec PIF.
Tous les chatons reçoivent trop de vaccinations; cela peut aider à prévenir grippes et rhumes (de temps en temps) ((ndlr l’argent colloïdal fait çà très bien sans les dangers de la sur vaccination)) mais cela pénalise lourdement le système immunitaire, le prédisposant aux maladies chroniques telles la pif et le cancer.
Donc voici ci-dessous l’épanchement de ma frustration après qu’un chaton de seulement 6 mois soit mort alors que les propriétaires ont fait tout ce qu’à leur connaissance ils pouvaient, pour le faire traiter correctement. L’incompréhension et les dégâts sont principalement dus aux vétérinaires- mais aussi aux compagnies de nourriture industrielle pour chats; je n’aborderai pas le sujet des montants d ‘argent que font annuellement les firmes pharmaceutiques fournissant les vaccins;
Veuillez ne rien ici prendre à titre personnel, il s’agit juste d’aider à expliquer ce qui a pu se passer-et ainsi à l’avenir pouvoir prévenir la PIF.
Portrait de la prédisposition à la PIF
Ce soir encore un propriétaire d’un autre chat avec PIF me demande ce que l’homéopathie pourrait faire pour aider un chaton avec PIF. Et j’ai envoyé ces avis avec comme d’habitude le cœur lourd sachant que les chances sont encore de moins de 50 % pour un stade terminal de pif avec mon approche-et pire encore dans ce cas à cause des stéroïdes injectés (stéroïdes = cortisone, hydrocortisone, prednisone, dexamethasone etc..)
J’ai déjà cessé de compter combien ce mois-ci m’ont contactée pour un chat ou chaton avec PIF, et ce n’est que le sommet de l’iceberg. Il y a une épidémie alarmante, croissante, de choses nocives faites aux chatons, et donc pas de surprise pour moi que le taux de PIF flambe.
Ce que je vois est un tableau tellement répétitif, que ce qui cause tous ces cas de PIF se voit à des kilomètres.
On peut parfaitement prédire (et aussi parfaitement prévenir) puisque nous savons ce qui déclenche la PIF -et que cela n’a rien à voir avec un coronavirus (lequel est ubiquiste), et a au contraire tout à voir avec le stress. Pourtant il ne semble pas y avoir de recherche féline pour étudier les hormones de stress, le cortisol, pour objectiver la corrélation avec les mutations PIF, en dépit du fait qu’ une évidence flagrante montre que le stress prédispose à la PIF, et en recherche, et dans ce que l’on voit en pratique
Les chatons avec PIF ont une anamnèse tout à fait prédictible chargée de stress accumulés par inadvertance à la fois par l’éleveur ou propriétaire, les refuges, et les vétérinaires- sur ce même chat ou chaton. Les industriels de l’alimentation pour chats ajoutent des toxines dans la nourriture – et on devrait être surpris de l’apparition d’une PIF?
Les chats ne sont pas “conçus” pour gérer des substances toxiques, et vaccins, drogues etc. ne font que léser le système de résistance aux maladies chroniques principalement assuré par une glande thymique saine. Le thymus chez un chat peut être très facilement endommagé, – et couramment cet organe nécessaire à la résistance aux maladies chroniques est ignoré en médecine vétérinaire.
Les chats n’ont pas non plus les mêmes ressources que l’organisme humain en termes de capacités de détoxification. Donc il est insensé d’être surpris que la PIF et d’autres maladies chroniques dues à un système immunitaire biaisé endommagé par vaccins, drogues etc. soient en augmentation. C’est dommage, car un chat a beaucoup plus de chances, avec un nursing soigneux, de survivre à un rhume, qu’à une PIF.
Où est passé le bon sens? Si nous imaginions faire une fraction de ces choses stressantes à un bébé humain -et les chats sont au moins aussi sensibles-en fait
beaucoup plus sensibles aux toxines- il y a longtemps que le coupable aurait été emprisonné pour mauvais traitements. Mais personne ne reconnaît qu’il s’agit de mauvais traitements: mauvais
traitements d’intoxication.
Aucun humain n’est vacciné chaque année juste pour gonfler le compte en banque du producteur de vaccins et de la personne facturant une fortune pour le vaccin.
Actuellement aux USA la dose vaccinale coûte au vétérinaire environ un dollar et est facturée aux clients 15 ou 25 ? C’est une grosse rentrée aux dépens de la santé du chat. Savez-vous que chez
les chats la première vaccination reste efficiente toute la vie du chat à condition qu’elle soit effectuée après l’âge de 3 ou 4 mois?
Avant cet âge le système immunitaire est trop immature pour l’utiliser, et cela ne fait que le léser sévèrement – une des grandes mesures à prendre en prévention de la PIF est de ne pas vacciner
avant l’âge de 3 mois. Ne vaccinez pas avant 3 mois!
Comme c’est aussi le cas pour les humains, les chats n’ont besoin d’une vaccination qu’UNE fois pour toute leur vie. Savez-vous que vacciner pour la même chose une deuxième fois est TRES
dommageable au système immunitaire?
La recherche l’a montré depuis 1965 mais les vétérinaires continuent à faire des rentrées de vaccinations “annuelles ” ce qui génère d’énormes revenus aux producteurs de vaccins.
Je ne sais pas quelles erreurs dans le cursus de formation sont là derrière, ou si la propension à vacciner est financièrement induite par l’industrie du médicament -mais il est communément observable que les vétérinaires ne comprennent pas le tort que la vaccination fait aux chats
Savez-vous que la (primo) vaccination pour plus d’une chose à la fois est extrêmement dommageable? L’injection de rappel telle une deuxième injection un an plus tard, même avec un système immunitaire plus mature, est moins mauvaise groupée que seule si vous deviez les faire-tout en restant nuisible et inutile; mais nous avons des lois qui forcent la main de chacun
La 1ère vaccination si elle est faite doit néanmoins être séparée pour chaque souche il ne faut pas faire plusieurs valences à la fois; et il faut un mois entre chacune pour qu’elle soit sécure.
Savez-vous que les chats peuvent seulement faire des anticorps à partir d’un vaccin après qu’ils aient passé l’âge de 3 ou 4 mois? Que les vaccins faits avant cet âge ne font que nuire?
Savez-vous qu’une vaccination requiert au moins un mois pour que le système immunitaire aie réalisé sa fabrication d’anticorps, -et que pendant ce temps le système immunitaire du chat ne peut pas
gérer un autre stress?
Les autres stress incluent : changer de foyer, sevrage, médicaments, autres vaccins, chirurgie, mise en cage, changement de régime, voyage dans un véhicule par exemple;
Si nous planifiions les vaccins en tenant compte de cette connaissance issue de la recherche-disponible donc depuis le milieu des années 60-, nous ne causerions pas à chats et chatons des stress chimiques tels, qu’ils mutent en PIF
la plupart des chats et chatons subissent TOUTES les erreurs de stress ensemble: vaccins combinés, subis trop jeunes, chirurgie etc.. et n’ont pas le minimum d’un mois entre chaque stress
L’alternative encore meilleure est d’utiliser la prophylaxie homéopathique avec les nosodes (voir site web Dr de Villiers).Ils sont mieux que les vaccinations car ils empêchent la maladie et ne causent AUCUNE lésion. Au contraire ils renforcent la résistance à la maladie chronique; les vaccins pour les maladies aigues peuvent-ou pas- fonctionner bien, mais tous provoquent un biaisage du système immunitaire qui prédispose aux maladies chroniques (telles asthme, allergies, arthrites, PIF, leucose, cancer, fibromyalgie, syndrome de Cushing, FIV, liste non exhaustive..))
Pour donner un exemple d’un cas de PIF et comme sont évidents les stress chimiques et émotionnels prédisposant, consultez cet “historique médical” reçu ce soir, dans les termes mêmes du
propriétaire (les noms sont enlevés, et j’ai mis l’âge à la place des dates)
Historique médical:
Âge 5 semaines : vaccination rhinotrachéite féline-calici-panleucopénie-chlamydia psitacci; vaccin administré par initiative privée au lieu de naissance, toutes ces maladies en même temps; bien trop jeune âge 7 semaines: changement pour un nouveau foyer; pour un chat changer de foyer est TRES stressant ; pas le temps entre les stress majeurs pour récupérer
âge 8 semaines vaccination FVTCP/C; test par le vêtérinaire pour la leucémie féline gouttes de clavamox; pommade triotic; ils en ont rajouté, il est encore beaucoup trop jeune; la pommade
implique la présence d’infection, sans doute que le système immun qui n’est pas encore développé à cet âge, était surchargé du premier vaccin; de plus c’est contraire aux préconisations de la fda
sur les notices de vaccin de ne pas faire de vaccin à un chat non en parfaite santé car cela peut le tuer, et cet avertissement est présent sur toutes les notices de vaccin. Donc ici il y a une
pommade antibiotique indiquant que le chat n’est pas sain, et un deuxième vaccin administré moins d’un mois après le premier
8,5 semaines: albon solution du vétérinaire; système immun; l’infection est parce que les vaccins ont surchargé le système immun immature; ici stress chimique est empilé sur stress chimique. Cet
amoncellement de chimiques dans un chaton/chat est presque une garantie qu’il sera suffisamment stressé pour que la PIF se développe. Le stress chimique élève le niveau des hormones de stress
tout comme le fait le stress émotionnel Et la vaccination à l’âge très jeune endommage sérieusement le thymus qui est nécessaire pour résister à la PIF et aux autres maladies chroniques
Âge dix semaines : vaccin FVRCP/C ; 2e injection vaccin leucémie féline par le vétérinaire; voir combien de vaccins injectés ici sans penser aux lésions à long terme du système immun
âge trois mois : vaccination pour la rage par le vet + chirurgie: castration, dégriffage (pénicilline, ketamine, torbumesic, fluoride, traquillisation) plus gouttes de clavamox avec torbugesic;
plus un mois et ils ont ajouté TOUS ces stress; la chirurgie à cet âge de bébé supprime terriblement brusquement les hormones nécessaires à la croissance des os longs et sexuelles; vous savez
comment sont indispensables les hormones à l’adolescence, c’est la même chose chez les chats et si vous pratiquez une hysterectomie chez une fille avant qu’elle ne soit mature elle finit
habituellement dans un asile car le changement soudain dans les niveaux hormonaux est presque impossible à gérer émotionnellement. La stérilisation doit être faite après la maturité sexuelle pas
avant. C’est horriblement stressant. Le dégriffage est la cruauté la plus incroyable jamais inventée et me rend malade; je ne peux ajouter de commentaire là-dessus; mais cela porte le stress à
son top;
5 mois et demi : le chat a de la fièvre et vomissements de début de PIF; vaccinations, drogues, infection, chirurgies, tout ceci accumulé pour un seul et même chaton; ils ne le disent pas mais il y a probablement eu aussi vermifuges et autres chimiques. Aussi injection metoclopramide. orbax; Injection de baytril, gouttes de clavamox ; test PIF corona positif;
6 mois: le labo perd l’échantillon sanguin pour le test de confirmation de la PIF -> tranquillisation ; injection de dexaméthasone ; gouttes de clavamox; PIF confirmée (dexaméthasone pour être SUR que le système immunitaire ne pourra pas récupérer et que le chat mourra;
les vétérinaires donnent des stéroïdes pratiquement automatiquement quand ils voient une PIF-tout l’opposé de ce qu’il faut faire car la recherche montre qu’une seule injection de stéroïdes
détruit 90% du thymus.