Effets secondaires des vaccinations du chat:

Cat vaccinations sont un excellent moyen de protéger votre chat de contracter des maladies félines.
Suite à votre vétérinaire local sur le calendrier des vaccinations pour les chatons et les vaccinations ultérieures pour des injections de rappel, vous économiserez du temps et de l'argent d'apporter votre chat à la clinique chat plus souvent.
Cela permettra également de réduire l'exposition de votre chat à la clinique surtout si elle n'aime pas particulièrement l'endroit.

Bien que la vaccination de chats sont généralement utiles, ils peuvent aussi présenter des risques pour votre animal de compagnie.
Les effets secondaires de ces vaccins vont disparaître dans le temps, mais certaines peuvent être mortelles si elle n'est pas traitée.
Les chats ne seront pas en mesure de vous dire quand ils se sentent quelque chose de mal, donc vous devez prendre le temps et d'observer vos animaux de compagnie en particulier après avoir été vaccinés. Certains des effets secondaires les plus courants sont énumérés ci-dessous. Lisez et être prêt à regarder dehors pour eux quand vous obtenez votre chat vacciné.

• Le plus souvent, les chats se sentent un malaise sur le site de vaccination. Ils se sentent mal à l'endroit injection du vaccin et de la rougeur, de l'irritation ou enflure peut également être observée.
Le chat peut même boiter est le vaccin est administré à proximité des membres.
Vétérinaires peut prescrire des analgésiques pour les chats qui éprouvent une douleur intense.

• Un effet secondaire doux de se faire vacciner est la diminution de l'appétit et de l'activité physique de votre chat.
Léthargie accompagnée d'une légère fièvre peut être prévu et finira par disparaître de lui-même au bout de quelques jours.
Chlamydia psittaci est une bactérie qui cause la chlamydiose chez les félins qui provoque des problèmes oculaires et pulmonaires.
Le vaccin car il provoque la léthargie, perte d'appétit et une fièvre qui peut durer quelques semaines.
Certains chats manifestent ces effets secondaires peuvent nécessiter un traitement avec des corticostéroïdes pour soulager les symptômes plus rapidement.

• vaccinations Cat peut également résulter d'un type de cancer. Les sarcomes ou des tumeurs bénignes peuvent se développer chez certains chats sur la zone où le vaccin a été injecté. Un sarcome vont envahir le profondément dans le tissu sous-jacent.
Certaines tumeurs bénignes ne sera pas nuisible et finira par disparaître, mais si le nodule se développe plus de deux centimètres et persiste pendant plus de trois mois, alors vous devriez consulter votre vétérinaire à ce sujet.
Tout comme chez les humains, l'enlèvement d'un sarcome est chirurgical et peut-être besoin de chimiothérapie ou de radiothérapie.

• Réactions allergiques à la vaccination de chat peut aussi être vécue par les chats. Ceux-ci comprennent les démangeaisons, rougeurs, urticaire, l'enflure et la tour des lèvres, des yeux et le cou.
Ces signes modérés doivent encore être vérifiés par un vétérinaire.
Les réactions allergiques graves sont des vomissements, de la diarrhée, difficulté à respirer et une baisse soudaine de la pression artérielle qui peut causer des évanouissements.
Ces symptômes ont besoin de soins immédiats d'un professionnel.

• Un autre risque lié à des réactions allergiques est un choc anaphylactique. Il s'agit d'une réaction indésirable et mortel pour les vaccinations de chat qui peut entraîner un choc, insuffisance cardiaque et, finalement, la mort.
Les symptômes du choc anaphylactique suivants: gonflement du visage, des gencives pâles, membres froids, et un pouls rapide. Soins immédiats d'un médecin peut comprendre l'administration de fluides intraveineux et l'adrénaline.

Source: 

EDUKRA

Le pouvoir pathogène résiduel des vaccins

Le mode de préparation des vaccins explique largement l’éventualité de l’existence d’un pouvoir pathogène des vaccins employés en santé humaine et animale.

Les vaccins produits à partir de souches virales ou microbiennes utilisent la chaleur ou des substances chimiques pour tuer, dénaturer les agents pathogènes ou atténuer leur virulence.

Pour augmenter la réponse vaccinale, des substances appelées adjuvants sont incorporées pour, entre autre, stimuler l’afflux des globules blancs au point d’injection.

Les vaccins produits par génie génétique sont constitués uniquement des fractions protéiques immunogènes, éléments de l’enveloppe externe des virus.

Quels sont donc les problèmes inhérents à ces modalités de fabrication :

Risques liés à la présence des adjuvants,
hydroxyde d’aluminium par exemple, susceptibles d’entraîner des pathologies annexes.Rappelons les cas supposés de sclérose en plaque chez l’homme, ainsi que les réactions d’hypersensibilité au point d’injection de certains vaccins.

Risques liés à la présence dans le vaccin d’enzymes et toxines bactériennes 
si le traitement des souches vaccinales a mal été effectué, car les toxines sont souvent résistantes à la chaleur et à l’inactivation par le phénol ou autres substances chimiques. Ces toxines sont responsables de réactions inflammatoires parfois importantes.
Risques liés à la persistance de la virulence pour les vaccins à virus vivants

Certains individus développent une maladie similaire à celle pour laquelle on a voulu les protéger.
Les animaux trop jeunes, trop âgés et / ou au système immunitaire défaillant, ne parviennent pas à contrôler la multiplication des virus vaccinaux qui retrouvent une partie de leur pouvoir pathogène.

Vaccins et réaction vaccinale

La réaction vaccinale intervient dans un délai de 48 heures après l’injection, et se caractérise par des réactions le plus souvent bénignes :

Réactions générales à composante fébrile, induisant adynamie et perte de l’appétit.

Réactions locales au point d’injection avec œdème, prurit et douleur à la palpation.

Cette réaction vaccinale, souvent causée par une virulence résiduelle de la souche vaccinale, ou par une réaction induite par les adjuvants, ne doit pas être confondue avec l'accident  vaccinal qui est une conséquence anormale très sévère de la vaccination.

Toute manifestation dépassant les 48 heures après la vaccination, toute altération plus sévère de l’état général, doit amener le maître à conduire son animal en consultation.

C’est pourquoi le praticien doit systématiquement informer le maître des conséquences possibles de la vaccination, afin que celui ci puisse agir en toute connaissance de cause.

Pour une simple réaction vaccinale, il serait tentant d’administrer des corticoïdes ou des anti inflammatoires non stéroïdiens pour diminuer douleur, fièvre ou inflammation. Malheureusement ceux-ci diminuent la réponse immunitaire et peuvent rendre le vaccin inefficace.

Le recours à l’homéopathie et à la phytothérapie, en prévention ou en traitement de ces réactions vaccinales sera souvent d’un grand secours.

Vaccins et accident vaccinal

Contrairement à la réaction vaccinale, l’accident vaccinal peut entraîner pour l’animal vacciné des conséquences redoutables voire fatales. Cet accident vaccinal est également appelé risque vaccinal. Il regroupe tous les problèmes sérieux engendrés par l’acte vaccinal, depuis le choc anaphylactique jusqu’à la maladie vaccinale.

Les principales causes de l’accident vaccinal sont :

Une vaccination mal effectuée, un protocole vaccinal non suivi

Une vaccination réalisée sur un animal qui ne devait pas l’être

L’accident vaccinal survient très rapidement, toujours au maximum dans les 24 heures.
Cet accident vaccinal peut présenter diverses modalités:

Des réactions locales sévères : oedèmes urticariens, abcès volumineux. Ces problèmes peuvent être dus à l'adjuvant, à l'utilisation d'un vaccin trop froid, à une mauvaise asepsie du lieu d’injection.

lDes maladies vaccinales, dues à la virulence résiduelle du vaccin :
L’animal souffre de la maladie contre laquelle on désirait le protéger.

Une aggravation d’une infection latente : on vaccine l’animal en phase d’incubation de la maladie contre laquelle on voulait le protéger.

Un choc anaphylactique résultant d'une hypersensibilité à un des composants du vaccin, souche vaccinale, adjuvant, résidus toxiniques ou enzymatiques.

Un avortement chez une femelle en gestation, ou toute autre maladie résultant du non respect des conditions d'utilisation du vaccin.
Citons pour mémoire les vaccins effectués sur des animaux trops jeunes, immuno déprimés comme ceux traités par chimiothérapie.

De tous ces exemples il ressort que l’acte vaccinal n’est jamais anodin, doit être réservé au praticien seul à même de pratiquer sérieusement un examen pré vaccinal et de détecter l’éventuelle apparition d’un accident vaccinal.

Ainsi nous pouvons établir une liste d’animaux ne devant pas être vaccinés :

Les animaux ayant déjà manifesté une réaction d’hypersensibilité de type 1 au même vaccin lors d’une séance vaccinale précédente.

Les animaux parasités ou porteur d’une maladie infectieuse .
Rappelons qu'il ne faut vacciner que les animaux correctement vermifugés

Les femelles en gestation, les chiots trop jeunes, les vieux chiens en mauvais état.

Les animaux en phase d’incubation ou porteurs sains de la maladie pour laquelle on veut les protéger

Les animaux pouvant être en contact rapide avec des animaux malades : la vaccination en milieu infecté doit être évitée, car inefficace et très risquée.

Les animaux immunodéprimés, chats porteurs du FIV, animaux sous chimiothérapie anti cancéreuse….

De tout ce qui vient d’être abordé, il nous faut retenir que la vaccination est une méthode de prévention remarquable, mais dont il faut connaître parfaitement tous les effets possibles, de façon à pouvoir les prévenir et les maîtriser au mieux, si nécessaire.

Les vaccins fabriqués dans les laboratoires des pays occidentaux offrent une garantie de sécurité des plus importantes : vaccins produits par génie génétique, process de fabrication rigoureux, utilisation d’adjuvants raisonnée…

Mais il n’en demeure pas moins que les accidents vaccinaux existent toujours, et que seul le respect par le praticien des indications, contre indications associée à un examen médical rigoureux de son patient permettra d’en diminuer la fréquence.

Il vaut toujours mieux surseoir à un vaccin que de déclencher un accident vaccinal toujours grave, parfois fatal !